Cinq joueurs dont le numéro n'a étonnement pas été retiré
Sept 5, 2019 20:30:05 GMT -4
Chicago, Montreal, and 2 more like this
Post by San Jose on Sept 5, 2019 20:30:05 GMT -4
Si des joueurs comme Teemu Selanne et Martin Brodeur ont vu leur numéro être retiré rapidement par leur équipe d’attache après avoir quitté les rangs de la Ligue nationale de hockey (LNH), ce n’est pas le cas pour tous les joueurs d’exception. En voici cinq qui, étonnamment, attendent toujours leur tour.
Kevin Lowe, Oilers d’Edmonton
Même si Lowe a remporté cinq coupes Stanley avec les Oilers (et une avec les Rangers), l’organisation d’Edmonton n’a toujours pas retiré le numéro 4. Bien qu’il n’ait jamais remporté le trophée Norris, le défenseur a été sélectionné sept fois pour le match des étoiles. Il est le joueur ayant disputé le plus de matchs avec les Oilers et le deuxième défenseur à avoir amassé le plus de points avec l’équipe après Paul Coffey.
Paul Kariya, Ducks d’Anaheim
Possiblement le meilleur joueur de l’histoire des Ducks, Kariya a été le visage de la franchise pendant près d’une décennie. Son statut de grand joueur a d’ailleurs été confirmé par sa récente sélection au Temple de la Renommée du hockey. Toutefois, l’histoire entre les Ducks et Kariya a pris fin abruptement après que ce dernier les eut menés en finale de la Coupe Stanley en 2003. De plus, Kariya a entretenu une relation difficile avec la ligue depuis sa retraite hâtive en raison de commotions cérébrales.
Sergei Fedorov, Red Wings de Detroit
Le cas de Fedorov est similaire à celui de Kariya. Malgré ses exploits sur la glace, ce sont les mauvais sentiments entre Fedorov et son ancienne équipe qui nuisent au processus. Pour des raisons contractuelles, la relation s’est dégradée entre le joueur et l’organisation bien avant que Fedorov joigne les Ducks, en 2003. Aussi, au cours de leur longue histoire, les Red Wings n’ont retiré que sept numéros. Fedorov était excellent, mais peut-on le mesurer à des joueurs de la trempe de Steve Yzerman, Nicklas Lidstrom ou Gordie Howe?
Toe Blake, Canadien de Montréal
Blake a passé 13 de ses 14 saisons avec le Canadien de Montréal. Il a gagné deux coupes Stanley et un trophée Hart à Montréal et a été choisi parmi les étoiles de la ligue à cinq reprises. Ses compagnons de trios, le Rocket Richard et Elmer Lach, ont déjà été honorés. Pourquoi pas Blake? Possible que sa carrière d’entraîneur ait porté de l’ombre à ses accomplissements en tant que joueur. En effet, il a gagné huit coupes Stanley derrière le banc du Canadien et compte presque le double de victoires que de défaites à titre d’entraîneur.
Brad Park, Rangers de New York et Bruins de Boston
Parce que sa carrière a été partagée entre les Rangers et les Bruins, les partisans des deux formations le considèrent comme « leur » joueur. Est-ce que c’est un Ranger ou un Bruin? Quoi qu’il en soit, aucune des deux équipes ne l’a honoré, même s’il a déjà été choisi par la ligue dans la liste des 100 meilleurs joueurs de son histoire. Joueur légendaire, la seule raison pour laquelle il n’a jamais remporté le trophée Norris c’est qu’il a toujours terminé deuxième, derrière Bobby Orr.
Source: www.tvasports.ca/2017/08/03/cinq-joueurs-dont-le-numero-na-etonnamment-toujours-pas-ete-retire
Kevin Lowe, Oilers d’Edmonton
Même si Lowe a remporté cinq coupes Stanley avec les Oilers (et une avec les Rangers), l’organisation d’Edmonton n’a toujours pas retiré le numéro 4. Bien qu’il n’ait jamais remporté le trophée Norris, le défenseur a été sélectionné sept fois pour le match des étoiles. Il est le joueur ayant disputé le plus de matchs avec les Oilers et le deuxième défenseur à avoir amassé le plus de points avec l’équipe après Paul Coffey.
Paul Kariya, Ducks d’Anaheim
Possiblement le meilleur joueur de l’histoire des Ducks, Kariya a été le visage de la franchise pendant près d’une décennie. Son statut de grand joueur a d’ailleurs été confirmé par sa récente sélection au Temple de la Renommée du hockey. Toutefois, l’histoire entre les Ducks et Kariya a pris fin abruptement après que ce dernier les eut menés en finale de la Coupe Stanley en 2003. De plus, Kariya a entretenu une relation difficile avec la ligue depuis sa retraite hâtive en raison de commotions cérébrales.
Sergei Fedorov, Red Wings de Detroit
Le cas de Fedorov est similaire à celui de Kariya. Malgré ses exploits sur la glace, ce sont les mauvais sentiments entre Fedorov et son ancienne équipe qui nuisent au processus. Pour des raisons contractuelles, la relation s’est dégradée entre le joueur et l’organisation bien avant que Fedorov joigne les Ducks, en 2003. Aussi, au cours de leur longue histoire, les Red Wings n’ont retiré que sept numéros. Fedorov était excellent, mais peut-on le mesurer à des joueurs de la trempe de Steve Yzerman, Nicklas Lidstrom ou Gordie Howe?
Toe Blake, Canadien de Montréal
Blake a passé 13 de ses 14 saisons avec le Canadien de Montréal. Il a gagné deux coupes Stanley et un trophée Hart à Montréal et a été choisi parmi les étoiles de la ligue à cinq reprises. Ses compagnons de trios, le Rocket Richard et Elmer Lach, ont déjà été honorés. Pourquoi pas Blake? Possible que sa carrière d’entraîneur ait porté de l’ombre à ses accomplissements en tant que joueur. En effet, il a gagné huit coupes Stanley derrière le banc du Canadien et compte presque le double de victoires que de défaites à titre d’entraîneur.
Brad Park, Rangers de New York et Bruins de Boston
Parce que sa carrière a été partagée entre les Rangers et les Bruins, les partisans des deux formations le considèrent comme « leur » joueur. Est-ce que c’est un Ranger ou un Bruin? Quoi qu’il en soit, aucune des deux équipes ne l’a honoré, même s’il a déjà été choisi par la ligue dans la liste des 100 meilleurs joueurs de son histoire. Joueur légendaire, la seule raison pour laquelle il n’a jamais remporté le trophée Norris c’est qu’il a toujours terminé deuxième, derrière Bobby Orr.
Source: www.tvasports.ca/2017/08/03/cinq-joueurs-dont-le-numero-na-etonnamment-toujours-pas-ete-retire